Les femme qui sont
à prendre pour modèles sont sans aucun doute les mères
des croyants, c’est-à-dire les épouses du Prophète -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Traduction relative et
rapprochée :
"
Le Prophète a
plus de droit sur les croyants qu’ils n’en ont sur eux-mêmes, et ses épouses
( au prophète) sont leurs mères ( aux croyants) "
S33
V6
Et aussi Allah -Le
Très Haut-
Traduction relative et rapprochée :
"
Ô
femmes du Prophète ! Vous n’êtes comparables à aucune autre femme"
S33 V 32
Et lors d’un voyage, le Messager d’Allah
-Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Ainsi nous tenterons d’exposer ce qui nous
est rapporté comme mérites concernant ces femmes, dans la Sounnah authentique
et purifiée. Aussi l’ordre que nous avons choisi représente l’ordre par
lequel le Prophète -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Khadija
bint Khouwaylid
‘Ali ibn Talîb -qu’Allah
l’agrée-
“ La meilleure des femmes est
Maryam fille de ‘Imran
et la meilleure d’entre elles est également Khadija bint Khouwaylid »[2]
Ibn ‘Abbas -qu’Allah
l’agrée-
« Savez vous ce que c’est ? »
Ils dirent : « Allah et Son messager sont plus savants !»
Il dit : « Les meilleures femmes des gens du paradis qui sont :
Khadija bint Khouwaylid, Fatima bint Mouhammad, Assia bint Mouzâhim femme de
Pharaon, et Maryam bint ‘Imran, qu’Allah les agrées toutes. »[3]
« Savez vous ce que c’est ? »
Ils dirent : « Allah et Son messager sont plus savants !»
Il dit : « Les meilleures femmes des gens du paradis qui sont :
Khadija bint Khouwaylid, Fatima bint Mouhammad, Assia bint Mouzâhim femme de
Pharaon, et Maryam bint ‘Imran, qu’Allah les agrées toutes. »[3]
Selon Anas -qu’Allah
l’agrée-
Elle lui dit : « Allah c’est Lui Le Salam, et sur Jibril le
Salam et que le Salam, la miséricorde et la bénédiction soit sur toi. »[4]
Abou Houraïra -qu’Allah
l’agrée-
« O Messager d’Allah, voici Khadija
qui arrive en portant avec elle un
plat de sauce, ou de nourriture ou de boisson, lorsqu’elle arrivera à
toi, passe lui le Salam de Son Seigneur, et de ma part, et annonce lui cette
bonne nouvelle : Une demeure
au Paradis en perle, loin de toutes
peines et de toutes gênes. »[5]
‘Aïcha
-qu’Allah
l’agrée-
« Je n’ai jamais été autant jalouse des épouses du Prophète comme
je ne l’étais de Khadija, alors que je ne l’ai jamais vue. Seulement
le Prophète l’évoquait à tel point qu‘il sacrifiait un mouton, le coupait
en morceaux qu’il partageait entre nous pour ensuite l’envoyer aux amis de
Khadija, jusqu’à ce qu’une fois je lui dise : « Comme s’ il
n’y avait dans cette vie que Khadîdja !! ».
Et il me répondit : « Elle était ainsi… , et ainsi…et j’eus
d’elle des enfants. »[6]
‘Aïcha -qu’Allah
l’agrée-
«Une fois Hallat bint Khouwaylid, la sœur de Khadija, demanda qu’on la
laisse entrer voir le Messager d’Allah, c’est alors qu’il la reconnut et
se rappela de Khadija, (ce qui le soulagea) et dit : « Ô mon
Seigneur c’est Hallat !! », ce qui me rendit jalouse, et je lui dit :
« Est-ce possible que tu te rappelles d’une vieille parmi les vieilles
Qoreïchites dont les deux coins de la bouche ont rougi, morte depuis longtemps ?
Allah ne t’a t’il pas donné à sa place meilleure(s) que cela ?» [7]
Et
la suite selon une version rapporté par at-Tirmidhî n°3886, il répondit :
« Par Allah, Il ne m’a pas donné mieux qu’elle! car elle m’a cru
lorsque les gens m’ont mécru , elle m’a rendu véridique lorsque les autres
m’ont dit que je mentais, elle m’a accordé de ses biens lorsque les gens
m’en ont privé, et par la grâce d’Allah je n’ai eu de descendance que de
cette femme .»[8]
Sawda
bint Zam’a
-Qu’Allah
l’agrée-
Un jour elle
-Qu’Allah
l’agrée-
« Gardes moi comme épouse, Ô messager d’Allah ! Par Allah !
Ce n’est pas le mariage qui m’importe, mais ce que j’espère c’est qu’Allah
me ressuscitera Le jour du Jugement comme étant une de tes épouses. »[9]
‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
« Je n’ai jamais vu une autre femme que Sawda bint Zam’a à qui
j’aurais aimé m’identifier de par son noble
caractère, et son intelligence ».
Puis elle poursuivit : « Lorsqu’elle devint âgée, elle céda
sa nuit à ‘Aicha ».
Le Messager d’Allah -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
‘Aïcha bint abi Bakr
-Qu’Allah
l’agrée-
C’est
‘Aïcha, la fille du successeur du Messager d’Allah -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
Le Prophète -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
« Je
t’ai vu en rêve deux fois, je te vois dans un bon morceau de soie.
Il m’est dit : « Voilà ta femme, dévoile là » et c’était toi !!
Alors je dis : « Si ceci provient d’Allah ça se produira. »
Et ceci provenait d’Allah et ça c’est produit. » [11]
Elle était celle qu’il aimait le plus parmi ses épouses -Qu’Allah
les
agrées-
« Quelle est la personne que tu aimes le plus ? », Le Prophète
-Prières et bénédiction
d'Allah sur lui-
Je lui demandai : « Et
parmi les hommes ? », Il répondit : « Son père ».
Je lui redemandai de nouveau :
« Et qui après lui ? ».
Et il me répondit « ‘Omar
ibn al Khattab » et il me cita d’autres noms.[12]
Ibn ‘Abbas -Qu’Allah
l’agrée-
« Ô ma fille
gares à t’identifier à celle dont les qualités lui valent l’amour du
Messager d’Allah -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
« O ‘Aïcha c’est Jibril , il te passe le Salam ».
Je lui dit : « A lui le Salam et la bénédiction, car tu vois
ce que je ne vois pas » En s’adressant au
Messager d’Allah [14]
Abou Moussa al Ach’ari rapporte que le Messager
d’Allah -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
« Il y a beaucoup d’hommes
parfaits, mais parmi les femmes, il y en a eu que trois : Assia
bint Mouzâhim femme de Pharaon, Maryam bint ‘Imran et Khadija bint Khouwaylid
et la supériorité de ‘Aïcha sur
les autres femmes est comme le « Tharid [15]»
sur tous les autres plats ..»[16]
Anas ibn Malîk -Qu’Allah
l’agrée-
« La supériorité de ‘Aïcha sur les autres femmes est comme le
« Tharid » sur tous les autres plats ..»[17]
‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
« Je sais lorsque tu es satisfaite de moi et lorsque tu es en colère
contre moi. »
Je lui dis : « Mais comment sais-tu cela ? »
Il me dit : « Lorsque tu es satisfaite de moi, tu dis : Non par
le seigneur de Mouhammad ! Et lorsque tu es en colère contre moi, tu dis :
Non par le Seigneur d’Ibrahim ! »
Je lui dis : « Tu as dis vrai (ou sans doute), par Allah Ô messager
d’Allah, je ne peux fuir que ton nom. »[18]
Un jour le Messager d’Allah -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
« Veux- tu être ma femme dans cette vie et dans l’au-delà ? »
Elle répondit : « Par Allah, oui !»
Il lui dit alors : « Tu es ma femme dans cette vie et dans l’au delà. »[19]
Allah -Le
Très Haut- l’innocenta du haut de ses sept cieux, lorsque les gens, et à leur tête
les hypocrites, ont dit qu’elle avait commis l’adultère, en révélant
dans le Coran dix versets dans la sourate « an-Nour » la lumière.
‘Aïcha
-Qu’Allah
l’agrée-
« Si on assemblait la science de ‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
Abou Moussa -Qu’Allah
l’agrée-
« Nous n’avons, nous, compagnons du Messager d’Allah -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Son neveu ‘Ourwa ibn az-Zoubeir -Qu’Allah
l’agrée-
« Je n’ai pas vu quelqu’un de plus savant dans la compréhension, la médecine
(ici traditionnelle) et la poésie que ‘Aïcha. »
Masrouq –Qu’Allah
lui fasse miséricorde-
«J’ai vu les grands savants parmi les compagnons du Messager d’Allah -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Il y a aussi le fait que le Prophète -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Al Boukhari et Mouslim rapportent d’après
elle -Qu’Allah
l’agrée-
« Allah -Le
Très Haut- prit (son âme) alors que sa tête était posée sur ma poitrine et sa salive
s’est mélangée à la mienne ».
Car lorsque le frère de ‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
Ibn abi Malika -Qu’Allah
l’agrée-
Il dit : « Comment te portes-tu ? », elle lui répondit : « Je
vais bien si je crains Allah »,
Il lui dit : « Sens-toi bien
In-cha-Allah, tu es la femme du Messager d’Allah -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Az-Zoubeïr -Qu’Allah
l’agrée-
« Ibn ‘Abbas est entré, m’a fait des éloges alors que j’aurai aimé
être oubliée.» [21]
‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
Et pour terminer, je dirais que je prends Allah -Le
Très Haut-
comme témoin que je suis innocent, réfute et rejette tout mal qui est dit sur
cette grande femme ‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
Hafsa
bint ‘Omar ibn al Khattab
Anas
-Qu’Allah
l’agrée-
Zaïnab bint Khouzeïma
-Qu’Allah
l’agrée-
Elle fut veuve après la bataille de Ouhoud, le Prophète
-Prières et bénédiction
d'Allah sur lui-
Az-Zouhrî
rapporte au sujet de Zaïnab :
« Elle était la mère des pauvres (Oummoul Massâkine), elle fut appelée
ainsi car elle nourrissait beaucoup les pauvres »[24]
Oummou Salama
-Qu’Allah
l’agrée-
Soufiane ibn ‘Ouyaïna –Qu’Allah
lui fasse miséricorde-
« Oummou Salama est la première à avoir émigré (fait la Hijra) »[25].
Oummou Salama -Qu’Allah
l’agrée-
« Il n’y a pas un musulman qui lorsqu’il est frappé par un malheur,
dit ce qu’Allah lui a ordonné de dire : « Nous sommes à Allah
et c’est vers Lui que nous retournerons. Mon Seigneur, accordes moi la récompense
de mon malheur et donne moi quelque chose de meilleure.», sans qu’Allah
ne lui accorde un bien meilleur ».
Puis elle dit : « Quand Abou Salama mourut, je dis :
« Qui est meilleur musulman que abou Salama ?Il a été le premier à
faire l’hégire avec sa famille selon l’ordre du Messager d’Allah -Prières et
bénédiction d'Allah sur lui-
En disant cela (cette invocation) Allah
m’a plus tard donné mieux, le Messager d’Allah -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Puis elle ajouta : « Le Messager d’Allah -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Il dit : « En ce qui concerne sa fille nous invoquons Allah afin
qu’Il lui suffise en dehors d’elle, et j’invoque Allah pour dissiper sa
jalousie. »[26]
Salmane -Qu’Allah
l’agrée-
Zaïnab
bint Jahch -Qu’Allah
l’agrée-
C’est la fille de l’oncle du Prophète : al
Mouttalib.
Anas -Qu’Allah
l’agrée-
« C’est vos parents qui vous ont donné en mariage, quand à moi c’est
Allah qui m’a donné en mariage du haut des sept cieux »[29]
En effet Allah -Le
Très Haut-
Traduction
relative et approchée : « Quand
tu disais à celui à qui Allah a comblé de bienfaits, tout comme toi-même
l’avais comblé : « Gardes pour toi ton épouse et crains
Allah ! », et tu cachais en ton âme ce qu’Allah allait rendre
public. Tu craignais les gens mais c’est Allah qui est plus digne de ta
crainte. Puis quand Zayd eut cessé toute relation avec elle, Nous te l’a fîmes
épouser, afin qu’il n’y ait aucun empêchement pour les croyants d’épouser
les femmes de leurs fils adoptifs, quand ceux-ci cessent toute relation avec
elles. Le commandement d’Allah doit être exécuté » S33 V37
Anas
ibn Malîk -Qu’Allah
l’agrée-
‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
« Celle parmi vous qui me rejoindra le plus vite sera celle d’entre
vous qui aura le bras le plus long »
Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
Elle dit : « ..Zaïnab avait parmi nous le bras le plus long,
car elle travaillait de sa propre main et faisait beaucoup l’aumône.»[31]
‘Aïcha
-Qu’Allah
l’agrée-
« Zaïnab était
celle qui reconnaissait ma valeur auprès du Messager d’Allah -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Et selon une autre version ‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
« Zaïnab travaillait de ses mains, elle tannait et ornait les peaux, et
faisait ainsi beaucoup l’aumône. »[33]
‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
Puis elle dit (‘Aïcha) : « Et
c’était elle qui m’estimait le plus des épouses du Prophète -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Safiya
-Qu’Allah
l’agrée-
Une fois Hafsa -Qu’Allah
l’agrée-
Lorsque le Prophète -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Elle lui répondit : « Elle a dit de moi que j’étais la fille
d’un juif ! »,
Il lui dit alors : « Tu es la fille d’un Prophète,
ton oncle est un Prophète, et tu es sous la tutelle d’un Prophète, alors de
quoi pourrait-elle se vanter de plus ?! »
Puis il dit : « Crains Allah Ô Hafsa !»[35]
En effet elle était de la descendance de
Haroune, son oncle est Moussa (qui est le frère de Haroun), et son mari n’était
autre que le Messager d’Allah -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Oummou
Habiba
C’est
la fille de abou Soufyane.
Un jour elle vit en rêve quelqu’un qui
l’appela et lui dit : « O mère des croyants ! »,
ce qui la réveilla, elle comprit que le Messager d’Allah -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Un jour elle dit : « Allah fait moi jouir de la compagnie du Messager d’Allah… »[37]
Maïmouna
-Qu’Allah l’agrée-
C’est la demi-sœur de Zaïnab bint Khouzeïma.
Selon Moujahid, elle s’appelait à
l’origine « Baza » mais le Prophète -Prières
et bénédiction d'Allah sur lui-
Selon ibn ‘Abbas -Qu’Allah
l’agrée-
« Quelles sœurs croyantes que sont Maïmouna, Oummoul Fadhl et Asma »
[39]
Selon la Sîra de ibn Hicham (n°4/296) et les Tabaqat de ibn Sa’d (n°8/137), c’est Maïmouna qui s’est donné au Prophète comme épouse, comme Allah dit dans ce verset :
Traduction relative et approchée :
« ..ainsi
que toute croyante si elle fait don sa personne au Prophète, pourvu que le
Prophète consente à se marier avec elle : c’est là un privilège pour
toi à l’exclusion des autre croyants. » S33
V50
‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
« Par Allah, elle était parmi les plus pieuses d’entre elles, faisait
partie de celles qui étaient le plus attachées aux liens de parenté. »
[40]
‘Ata -Qu’Allah
l’agrée-
« Lorsque vous soulèverez son corps
alors, ne la secouez pas et ne la bousculez pas. »[41]
Il dit (selon al Waqadî –Qu’Allah
lui fasse miséricorde-
« Mais soyez doux avec elle, car elle est votre mère»[42]
Jouwayrîyah
bint al Harith
Selon ibn ‘Abbas -Qu’Allah
l’agrée-
‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
«Par Allah, je ne connais pas de femmes qui n’aient de plus grande bénédiction
pour son peuple, que cette femme. »[44]
Après toutes ces preuves authentiques énoncées,
appartient-il désormais à celui qui craint Allah et le Jour dernier, de
critiquer ou au pire de dénigrer, les mères des croyants ?!.
… Qu’Allah -Le
Très Haut-
les agrées ainsi que tous les compagnons !
Recherche
effectuée par :
Oummou
Safiya al Djazaïria
&
Abou ‘Abdir Rahmane
‘Abdoullah Attantany.
Références :
(Pour
la partie sur ‘Aïcha -Qu’Allah
l’agrée-
Fath al Barî de ibn Hajar al
‘Asqalani Référence :
avec le Tahqiq de Cheikh ibn Baz, Tome n°7.
Al
‘ilm wal ‘Oulama
Sahih Mouslim « Chapitre sur les mérites de Khadija et de ‘Aïcha »
du cheikh abou Bakr Jabir al Djazaïri
[1] Hadith rapporté par al
Boukhari.
[2] Hadith rapporté par al Boukharî n°3815 et Mouslim n°69/2430.
[3] Hadith rapporté par Ahmad n° 1/293 ; ibn Hajar l’a
authentifié dans Fath al Barî 6/471.
[4] Hadith Hassan rapporté par Nassa-î n° 254.
[5] Hadith rapporté par Boukharî n°3820 et par Mouslim n°71/2432.
[6] Hadith rapporté par Boukharî n° 3816
[7] Hadith rapporté par Boukharî
et par Mouslim n° 77/2436.
[8] Hadith rapporté Tirmidhi n°3886.
[9] Hadith rapporté par Mouslim n° 1463.
[10] Hadith rapporté par Mouslim n°6/154.
[11] Hadith rapporté par Mouslim n°79/2438.
[12] Hadith rapporté par al Boukharî et par at-Tirmidhi 3/46.
[13] Hadith rapporté par al Boukharî n°5125 et n°5218.
[14] Hadith rapporté par al Boukharî n° 3768 et par Mouslim n°2447.
[15] C’était un plat composé de pain et sauce, le traducteur.
[16] Hadith rapporté par Mouslim n°70/2431.
[17] Rapporté par Mouslim n°89/2446 et par ibn Majah (Sahih al
Jami’: n°4210).
[18] Hadith rapporté par Mouslim n° 2439.
[19] Rapporté par al Boukharî n° 4785 et par
ibn Hibbane avec un Sanad Sahih.
[20] Hadith hassan sahih rapporté par Tirmidhî n°4883.
[21] Hadith rapporté par al Boukharî n° 4753 et par Ahmed n°1644.
[22] Hadith Sahih rapporté par abou Dawoud n° 2283, ibn Majah n°2016
et an-Nassa-i n°6/212
[23] Rapporté par Mouslim n° 2142.
[24] Rapporté par at-Tabarani.
[25] Rapporté par al Hakim selon un Sanad Sahih.
[26] Rapporté par Mouslim n° 3/918
[27] C’était en fait Jibril
qui venait souvent sous l’apparence de Dihiya, qui était un compagnon.
[28] Rapporté par Mouslim n°100/2451.
[29] Rapporté par al Boukharî n° 7420 et par at-Tirmidhî n°3213
qui le qualifie comme Hassan Sahih.
[30] Rapporté par al Boukharî n° 7421 et par Ahmad n°3/226.
[31] Rapporté par Mouslim n° 101/2452.
[32] Rapporté par Mouslim n°2442.
[33] Rapporté par al Hakim n° 4/25 ; adh-Dhahabi l’a
authentifié.
[34] Rapporté par al Boukharî n° 4750.
[35] Rapporté par Ahmed n°3/135 et at-Tirmidî n° 3894 avec un
Sanad Sahih.
[36] Selon les Tabaqat de ibn Sa’d n°8/97.
[37] Rapporté par Mouslim n°7/1363
[38] Rapporté par al Hakim n° 4/30, adh-Dhahabi l’a
authentifié.
[39] Rapporté par al Hakim n°4/33 ; adh-Dhahabi l’a
authentifié.
[40] Rapporté par al Hakim ; adh-Dhahabi l’a authentifié.
[41] Rapporté par al Hakim n°4/32 ; adh-Dhahabi a
authentifié.
[42] Selon ibn Sa’d n° 8/140, selon Waqadi.
[43] Rapporté par Mouslim n ° 2/40 et
par Ahmad n° 2/429 .
[44] Rapporté par Ahmad n°6 / 277 avec un Sanad Sahih et
par abou Dawoud n°3931.